Celine De "Corvee De Bois"
Cette histoire date de quelques années, à l'époque ou le bois de Boulogne permettait encore des aventures très chaudes.
Bien sur aujourd'hui encore on peut donner libre cours à ses pulsions car il y a toujours une faune interlope dans et autour du bois.
Ce soir là, après un bon dîner avec Cécile, je l'interrogeais sur le programme de la soirée, ce qui l'a surpris beaucoup venant de son maître. J'avais décidé de lui laisser le choix qui bien entendu devait comporter sa dose de sexe et de soumission.
Elle me dit alors, "la soirée est douce, il fait beau et j'aimerais faire un tour au bois de Boulogne".
Cette idée fort prometteuse ne pouvait que recueillir mon approbation et c'est avec enthousiasme que nous nous dirigeâmes vers la Porte Dauphine.
Cécile comme à son habitude et sur mes instructions, ne portait qu'une robe légère, rien dessous, le sexe et l'anus épilés.
Arrivés Porte Dauphine vers minuit, c'est la meilleure heure, nous vîmes le ballet habituel des voitures et des piétons hommes, femmes et autres qui se penchaient aux portières.
Nous nous rendîmes plutôt vers l'ambassade d'URSS qui était longée par une avenue appelée "l'allée des branleurs". Là des hommes de tous âges, de toutes races se masturbaient en regardant le spectacle des femmes exhibitionnistes à l'intérieur des voitures.
J'invitais donc Céline à déboutonner sa robe et à s'exhiber en forme de hors d'uvre.
Aussitôt le véhicule dont les portes étaient verrouillées fut entouré d'hommes qui le sexe à la main se branlaient sans retenue.
Céline avait sous les yeux un échantillon de sexe du plus petit au plus gros, du plus court au plus long.
Je lui ordonnais ensuite de se caresser les seins d'une main et de se doigter la chatte de l'autre, chose qu'elle adore surtout avec des spectateurs.
Au bout d'un certain temps, les vitres de la voiture furent couvertes de sperme, je du mettre les essuies glace pour repartir vers une autre aventure.
Nous pénétrâmes dans le bois cette fois pour rejoindre une clairière qui avait pour réputation d'accueillir des couples dont la femme soumise se livrait aux hommes présents. Pendant le trajet, Céline sorti ma queue et me fit une pipe d'enfer sans toutefois aller jusqu'au bout voulant que je suis hyper excite pour la suite du programme. Bien sur elle ne s'était pas rajustée, et lorsque nous arrivâmes dans la clairière il y avait déjà trois ou quatre véhicules uniquement occupés par des hommes.
J'ordonnais à Céline de ne pas bouger il n'y avait pas assez de participant.
Les premiers arrivés vinrent vers nous et je leur fis signe qu'ils devaient patienter.
Au bout d'un moment, plusieurs voitures nous rejoignirent dont deux occupés par des couples.
Je descendis de voiture suivie de Céline qui avait ôté sa robe ne laissant aucun doute sur ses désirs.
Les deux autres femmes la rejoignirent, l'une 30 ans environ très belle également nue puis l'autre les seins nus mais ayant conservé sa jupette. Cette femme mulâtre était très belle mais plutôt athlétique pour une femme, j'eus d'un coup des doutes, mais nous n'étions pas venus pour faire la fine bouche.
Deux couvertures furent étalées sur l'herbe et les femmes furent invitées à se mettre à quatre pattes.
Aussitôt des sexes jaillirent des pantalons et s'offrirent à la convoitise des trois chiennes en chaleur, qui se mirent à sucer, lécher, gober des bites de toutes tailles et couleurs.
Sitôt les sexes bandés et turgescents ne se satisfirent-ils pas des bouches et commencèrent à convoiter d'autres orifices offerts à leur lubricité.
Pour moi, je me présentais derrière la mulâtre et lui relevant sa jupette découvrit qu'elle portait une culotte laissant libre le chemin de ses reins.
Ne détestant pas emprunter l'entrée des artistes, je me lubrifiais le gland et l'enculais sans aucune opposition, je tentais plusieurs fois de lui branler la chatte mais à chaque fois elle me repoussait.
Je l'interrogeais sur son plaisir et elle me répondit avec un charmant accent sud américain "continus à m'enculer, je me ferais sucer par ta copine après".
J'étais en train d'enculer un travesti, ce que je n'avais jamais fait, mais le pire était que j'y prenais du plaisir, j'avais mis un préservatif et je lui déchargeais copieusement dans le cul, je jetais ensuite la capote dont le sol était jonché, et Clarissia me demanda si elle pouvait me finir de sa bouche pulpeuse.
Je ne me fis pas prier, et c'est dans cette bouche sud américaine que mon extase toucha à son paroxysme.
Je vous conterais la suite dans un prochain HDS.
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